La chambre de l'imortelle Nopöldia

Bowen fut surpris de sa réponse.

-Si tu as peur du sang tu n'ira pas loin.

*Aller avoue que j'ai raison* Dit-il à Napöldia.

Napöldia regarda la bibitte, qui était tout de même indignée!, sortir de la pièce.

" Il ne rantrera JAMAIs dans ma classe, lui! "

Napöldia se retourna vers Vincent qui venait de refermé la plait, au plus grand soulagement de Bowen.

- Je vois que tu as réussis! c'est parfait. Tu disait aussi que tu pouvait déplacer les objets... Peux-tu amener la drague que Sire Bowen a dans la main dans ma main?

Elle ouvrait sa propre main.

-J'ai pas peur, j'aime pas ça c'est tout.

Bhaal fit semblant de sortir en marchant lentement et comme personne ne s'en occupait il lacha un grognement et quitta la salle pour retourner dans son lit.

- Ouais, c'est facile.

Il s'exécuta.

Bowen laissa la dague partir dans les aire jusqu'à Napöldia.

*Dit-le. Je le sais je ne le direz pas si sais se que tu veux.*

HJ: Tu peux pas lire mes pensées... 1: C'est interdit: je suis magicienne. 2: Tu n'y arriverait pas: je suis immortelle et seuls les immortels peuvent lire les pensées que leurs semblable mais je cache que je suis immortelle.

Mark arriva en courant dans la chambre de Napöldia. Il se retourna et vit Bowen. Il semblait en pleine forme. Il vit aussi un jeune élève.

- Heu... j'ai senti que Bowen était blessé mais apparement, tout va bien.

Ses yeux devinrent une fois de plus mauves. Il les baissa.

- Heu... désolé, je m'en vais.

Il se retourna et ferma la porte derrière lui.

Bowen regarda Mark entrer et fut surpris. Puis il reporta son visage su le futur éleve quandMark eu sortit. Puis il regarda Napöldia et lui envoya un message télépatique.

*Répond. Je le sais sa ne sert à rien de le cacher et si tu serais magicien tu ne pourais pas garder ton esprit toujour fermer comme toi tu devrais arrêter alors dit le je ne direz rien.*

Napöldia sourit. Vincent et Solweign devait se poser des questions... Elle expliqua:

- Les Chevaliers sont des frères et soeurs d'arme, oui, mais contrairement au autres soldat qui n'ont aucun lien entre aux à part ça, les Chevaliers d'Émeraude peuvent ersentir les émotions très forte. Il semble que Sire Bowen a eu particulièrement mal...

* Il y a un Chevalier qui mange seul en ce moment. Tu devrais le rejoindre. Je n'ait rien à t'annoncer. *

Bowen regarda Napöldia et regarda les enfants avant de dire:

-Alors s'est pour sa que mon frère d'arme à fait éruption en sentant mon mal il est venue pour voir se qui se passait.

*NAPÖLDIA N'ÉSAIS PAS DE FAIRE SEMBLANT JE SAIS QUE TU EST IMMORTELLE* Cria Bowen avec son esprit.

HJ: C'est telement drôle... On discute tranquillement à voix haute et on se crie entre nous par la pensée...

Napöldia continua à expliquer.

- Ils y sont arriver car ils sont très unis. Bon, Vincent, tu es accepté comme élève.

* MÊME SI TU CRIS, JE NE TE LE DIRAIT PAS!!! *

Bowen regarda Vincent et lui dit par la penser:

*Bravo je savais que tu réussirait.*

Puis Bowen se tourna vers Napöldia et lui dit ayant tout a fait changer de sujets:

*Veux-tu célébrer notre mariage à moi et à Annabelle et maintenant dis le moi je le sais sa sert à rien de le cacher.*

Napöldia voulait écourter la discution au plus vite. Elle toucha le bras du Chevalier, l'ammena dans la halle des Chevaliers. Puis elle revient dans sa tour.

" Environs 20 minutes de tranquille... "

Bowen ne sait pas laisser faire il retoucha le bras de l'immortelle et raparu proche d'elle.

*Tu ne m'aura pas si facilement et en faisant sa tu prouve que jai raison tu veux m'élloigner pour que je te laisse tranquille sachant que j'ai raison. Avoue*

Puis Bowen recula et regarda la petite qui les regardait.

-Je pense que je vais y aller. Bye! dit-il en sortant dans la cour.

Napöldia montra la porte d'une main.

- Je n'ai pas l'intention de ma faire fuir mes élèves à cause de toi, Bowen!

* Pourquoi t'ostine-tu sur moi, Bowen? Je ne suis pas immortelle, un point c'est tout! *

Les messages télépatiques m'avaient jamais eu d'effet sur ses yeux et ils réagirent comme tous ses mansonges mentals précédents.

-Moi je ne fait ien je les encougage seulement.

Puis Bowen la foudroya du regard et partit tranquillement en lui disant avec son esprit:

*Vien au moin à mon marriage.*

Napöldia le regarda droit dans les yeux.

* Je n'ai JAMAIS eu l'intention de ne pas y aller. Même au contraire, on m'a prévenue du mariage pour que je l'empêche, mais je n'ai que fait pencher encore plus de Roi pour ton mariage. Sans mon accord, tu n'aurait jamais eu la main de la princesse, je te signale. *

*Je ne suis pas si certain que toi* Puis Bowen lui fit un sourire malicieux et lui dit:

*Un je jour tu me le dira.*

Puis il partit.

Napöldia leva la main pour signerfier qu'elle a comprit et se retourna vers la première des deux qui était arriver. Elle posa la même question qu'à Vincent et testa à elle aussi deux de ses pouvoirs avant de dire qu'elle pouvait être élève, qu'elle était acceptée comme élève.

Napöldia entendit l'appelle du Chevalier. Elle prit la petite main de l'élève.

- Ferme les yeux... Ça peut faire mal à tes yeux si tu ne les ferme pas... Ce que je vais faire, peu de personne l'auront fait...

Elle se téléporta dans le dortoir des filles.

Napöldia apparu et se changea joyeusement.

Une robe bleu nuit avec un sintillement qui faisait penser à la nuit sans lune, une couette de cheval avec les cheveux plaquée sur sa tête et un colier avec comme pendentif un diamant qui va au creu du cou.

Elle était prete.

Elle disparue dans une pluie d'étincelle argenté et bleu nuit.

Une pluie de petite étincelle bleues pâle et argentées apparue, puis toute la créature divine et l'immortelle au complet apparurent. Napöldia lâcha le bras avant de marcher vers son armoire. Elle avait remarqué que son ancienne, et elle espérait que c'était toujours quelque chose d'actualité, amie en portait rien son sa forme liquide. Elle sélectionna quelques une de ses robes et les lui présenta.

- Laquel préfères-tu?

Elle lui avait fait un immence sourire en le lui dissant.

-La bleue, comme toujours...

Mélia saisit la robe et se retransforma en humaine. Elle se vêtit puis lui dit:

-Tu sais que je préfère toujours ma liberté quand je suis sous forme aquatique.

Napöldia sourit et rangea les autres robes. Elle avait en effet casiment sure de savoir son choix. C'est pour cela qu'elle avait sourit en le lui proposant. Finalement, elle prit un papier dans une cachette secrete de son garde-robe. Il était d'une douceur incomparable et une légère teinte bleue. Le papier était de toute évidance divin. C'était aussi un avis de recherche sur Mélia. L'immortelle le lui tendit.

- On t'a beaucoup chercher durant le temps de te ta détention... Particulièrement le dieu du vent et la déesse de l'eau. Ils se sont inquiétés pour toi. Ils faut dire qu'il est rare de voir disparaître quelqu'un dans le monde divin...

-Ils m'ont recherchée ? Surprenant... J'étais presque sûre que ça passerait inaperçu, à peine quelques... Oh j'ai perdu le fil du temps...

Mélia soupira puis s'assit sur le lit tranquillement. Le sort d'amour était toujours présent et s'il n'était pas là elle aurait assurément dénoncé Kiorik. Tout était si confus dans ma tête.

Napöldia la regarda s'assir sur son lit. Elle ne savait que trop faire... Dispaître sans laisser de trace était assez spécial, mais réappatraître d'un coup, sans rien dire, l'était deux fois plus.

- Tu as l'intention de faire quoi, maintenant? Te laisser comme disparue ou affronté tes parents? Même si l'éternité peu être long pour nous, je suppose que pour eux qui sont des dieux c'est court... Mais il faut aussi pensé qu'ils sont, dieux ou non, tes parents... Mais tu sembla surprise qu'on s'est inquiété de ton absence! Tu sais pourtant qu tu es un membre assez important!

-Je suis surprise parce que ils auraient du s'en moquer comme de ce pauvre continent. Et de toute façon mes parents doivent être au courant, parce que j'ai mis Parandar au courant de ma réapparition.

Mélia soupira de nouveau.

-Et de toute façon, je me moque de ma mission maintenant...

Napöldia sourit.

- Si tu as mis au courant Parendar, il y a beaucoup de chance qu'ils soient au courant, en effet. Seulement, pour ta mission, et après ta si longue disparition, tu pourrais pas, disons, la marchander? La faire revenir sur des bouts que tu aimes plus et faire disparaître des choses que tu aimes moins... Par exemple, je faisais le côté bonheur et joie d'Enkidiev. C'était ma mission d'immortelle. JHors, maintenant, je m'occupe des Chevaliers d'Émeraude qui vont, eux, aller à la guerre, se battre jusqu'à la mort de leur ennemis ou la sienne... Bref, tout le contraire d'avant! Cependant, mon travail va servir à rammener la paix sur Enkidiev.

Elle avait dit tout cela en essayant d'éloigner le sujet sur le fait que les dieux ne s'occupaient pas du continent. Il avait ici la plus forte concentration d'immortels, mais les dieux se foutaient complètement du continent. Seulement Rubis avait son dieu protecteur, ou plutot déesse protectrice, alors d'ailleurs, il avait un dieu protecteur par ville...

-Ramener la paix... Pfff... Avant moi l'eau et le vent se déchaînaient un peu partout et maintenant JE devrais y mettre un certain ordre ? Les dieux se moquent tant du continent qu'ils créent un être pour chaque tâche spécifique qu'ils devraient faire eux même.

La jeune femme sentait légèrement la présence du sort de Kiorik, mais ne semblait pas s'en préoccuper pour le moment.

Napöldia avala diffcilement sa salive. Elle n'aimait pas trop ce qu'elle allait dire, mais c'était la vérité:

- Il faut dire qu'ils ne sont pas des plus travaillant... Même assez parresseux. Seulement, tu dois y aller un jour ou l'autre. C'est inévitable. Seulement, plus vite tu y vas, moins ta punition sera grande. Et puis, même s'ils te donnent énormément de travail, le dieu du vent et la déesse de l'eau restent tout de même tes parents... tu leur doit la vie.

Napoldia rangea le paier avant de murmurer la dernière phrase:

- Et ce même s'ils laissaient ta vie être un calvère.

Elle ferma le compartiment avec un petit bruit. Pendant ce temps, l'aurore se montrait doucement, sans se presser.

-J'y suis déjà allé, et dis moi simplement, pourquoi ils me puniraient pour avoir été capturée ?

Mélia s'évapora lentement, mais assez lentement pour laisser Napöldia répondre.

Napöldia la regarda l'évaporer.

- Oh, tout simplement parce qu'ils peuvent croire que tu t'as laissé capturer exisprès ou que tu as tardé au meximun la rencontre.

Napöldia regarda à nouveau par la fenêtre. L'aube était réellememt là avec son beau ciel rose et orange.

-Je vais sans doute te revenir bientôt à ce sujet... Au revoir !

S'évaporant totalement, la robe bleue retomba lentement sur le sol puis Mélia quitta les lieux.

Juste après le départ de Maélia, Napöldia répondit:

- Oui, au revoir.

Elle prit la robe et la secoua un peu. Elle était humide, mais ça ne l'inquiétait gère. Elle la mit dans son armoire avant de se mettre à la fenêtre. L'aube était maintenant completement levée. Un bruit de verre venant de l'autre bord de la tour attira son attention. Elle laissa voguer son esprit et fit qu'il avait déjà les élèves dans la salle de classe! Elle se regarda dans un mirroir. elle portait encore sa robe bleu minuit et sa coiffure en avait vu des belles! Elle mit magiquement sa robe habituelle et défit ses cheveux avant de les laisser libre. Finalement, elle se déléporta vers la salle en question.

Bowen arriva dans la chambre la mort dans l'ame et cria:

-NAPÖLDIA VIEN TOUT DE SUITE J'AI BESOIN DE TE PARLER.

Il attendit en tappant du pied et avec la petite qu'il essayait de calmer.

Napöldia arriva dans une pluie d'étincelles argnetées, comme à son habitude. Elle déposa magiquement les rouleau de parchemins, où elle avait casiment tous marquée de longues inscription, avec les plumes et des encriers, dont trois étaient vides. Elle se retourna vers Shasta.

- Tu peux garder le manteau si tu as encore froid à cause de la neige de Shola. On pourra, par la suite, faire quelques petites recherches sur nos trouvailles.

Comme elle avait ingnoré pendant tout ce temps le Chevalier, avec sa fille en plus, et que Napöldia le savait très impatient quand il le voulait, elle continua à faire de même, juste pour le plaisir de la chose.

- Si tu veux un manteau sèche, tu me le dis. J'en ai quelques'un, même s'ils ne sont pas très masculin. De toute façon, le but est de réchauffé et non de te faire beau.

Elle déroula quelques'un de ses parchemins pour les faires séchés complètement avant de, finalement, se retourner vers Bowen et de le gratifier d'un immence sourire.

- Tu m'appeller?

-J'ai besoin de te parler en priver. Dit-il en se tournant vers Shasta.

Puis il la regarda en attendant sa réponse.

Mélia apparut dans sa longue robe bleue et dit à Napöldia:

-J'ai une grande nouvelle !

Bowen vit apparaitre la jeune femme.

-Bonjour milady.

Il lui fit un baise main et attendit la suite.

-Oui oui, mais dépêche toi ! Transporte moi avec toi mais dépêche !

Bowen la regarda et répondit:

-Ne m'oublie pas si tu part tu reviens d'accord.

-Bon oublie Napöldia je t'amène !

Puis la créature divine se retourna vers Bowen.

-Elle va revenir... dans quelques années !

Puis elle transforma elle-même et Napöldia en vapeur.

HJ:direction le lac de rubis disons !

(HJ: Désolé si j'était dans la lune... J'était connecté mais je regardais d'autres forums. :HJ)

Napöldia avait assisté patiament à l'échange d'idées. Elle fronsa les sourcils quand Mélia a déclarer "dans quelques années". Cependant, elle n'eut pas le temps de poser de question qu'elle était changer, bien malgrée elle, en vapeur. C'était une sensation bizzare. Encore plus de passer par la fenêtre pour sortir de sa chambre. En tout cas, elle faisait confiance à Mélia et la suivit tranquillement.

[i]Shasta avait lever un sourcil, inquiet de se qu'il avais entendu " -Elle va revenir... dans quelques années ! ". Il ne voulais pas se retrouver sans son maître, elle lui aurait enseigner se quelle voulais bien lui montrer. Allor n'ayent plus rien a faire il sorti pour aller chercher ses livres qu'il avait oublier.

Bowen regarda Shasta sortir et alla s'assir sur la chaise de Napöldia. Il attendait en bercant la petite.