chambre de Satine

Une belle chambre juste a coter de la suite royale. La chambre de Satine est très bien décorer et elle est entièrement en pierre avec de nombreuse peinture et de tapisserie. elle est carrée et a un balcon. juste entre la porte et le balcon il y a un lit double avec des draps rouges. une table ou elle peu lire et écrire et mettre ses bijoux. tout est en conforme car elle et la princesse venaient souvent pour y jouer ou se cacher.

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*la belle dame de compagnie arriva dans sa chambre furieuse. elle claqua la porte. son beau chien leva la tête quand elle entra. la regardant avec des yeux remplit de tristesse et d’interrogation elle le flatta sur la tête. elle s'assit sur son lit et prit son livre.

Faren arriva à la chambre de Satine et cogna à la porte. Il avait hate de la voir pour lui parler et lui expliquer un peu ce qui s'était passé dans la salle à manger. Il esperait qu'elle ne soit pas trop en colère.

*elle déposa son livre « ou plus tôt son dictionnaire XD) et alla ouvrire la porte. Elle vit Faren debout a coter de la porte. Elle arqua un sourcil et le regarda de la tête au pied.

-qui vois-je? Monsieur Faren qui me chasse de la où il avait de l’action.

*elle prit une pause et alla s’asseoir sur son lit.

-je ne sais pas si tu le sais! Mais il n,a pas juste les chevaliers qui save se battre dans se monde.

Faren vint s'asseoir a côté d'elle et soupira. Il se tourna et la regarda dans les yeux.

- Je suis au courant. Je t'aime simplement trop pour te perdre...

-j’ai survécu a une morsure de serpent et a une tempête de sable…comment pourrai tu me perdre ainsi? Je suis bien trop attacher a toi pour risquer ma vie simplement comme ça. Tu le sais bien faren. Je t’aime moi aussi, mais je ne supporte pas de me faire imposer une condition. Je suis comme ca…j’entend ma vie comme je le veux même si les autres ne sont pas d’accore…je suis pire que la princesse sur se poing.

*elle déposa sa main sur son visage et sourie quel que peu.

- Oui mais... Je m'en voudrais tellement si je te perdais...

Faren baissa les yeux à cette idée. Lorsqu'il les remonta, ils étaient brillants, l'air triste.

- Et cette chose avait des pouvoirs. Ton simple poignard n'aurait pas pu servir à grand chose.

Il sourit un peu en la revoyant le sortir de sous sa jupe.

-je le transport toujours avec moi depuis mon plus jeune age.

*elle le pointa du regard sur sa commode.

-je le met ou on ne peu le voir!

*dit-elle en ricanant doucement.

-j’ai plus d’un tour dans mon sac mon cher Faren. Je transporte toujours de la moutarde sécher. Ca dans les yeux et on dirai qu’ils vont fondre!

Un sourire éclaira le visage de Faren et il l'embrassa.

- Je t'aime tellement Satine...

-et moi donc! Mais je t’avertis si un autre de tes chevalier me donne un ordre j’y saute dessus et je le frappe comprit.

*dit-elle entre deux baiser et d’un ton faussement menaçant. Elle l’embrassa passionnément en passant ses bars autour de son coup.


-je t'aime

*chuchota t-elle dans le creux de l,oreille

Faren rit en se l'imaginant sauté sur un des chevaliers et lui donner des coups.

- Je te laisserai faire si tu veux...

Il se laissa embrasser et passa ses bras autour de sa taille, savourant les lèvres de sa belle.

*elle partie a rire quand il lui répondis. Mais ne dit rien d’autre. Enfin un moment d’intimité commençait a être temps…elle ne pouvait être seul avec celui qu,elle aimait que pour une seul minutes et quel qu’un les dérangeait. Coller contre lui, satine ne voulait certes pas que se long baiser ne finisse. Il était déjà presque Midi. Et il se plaindrai ENCORE qu’il commençait a avoir faim et encore elle devrai le faire manger et encore ce moment d, intimité sera briser.

Faren se coucha sur le lit en continuant de l'embrasser. Il était vrai qu'un peu d'intimité était requise. Il su ce à quoi elle pensait et il se retint de rire. Il ne voulait pas se détacher d'elle encore une fois. Il n'avait pas faim et ne voulait pas avoir faim non plus. Il continua le baiser avec plus d'ardeur et de fougue.

*elle répondit a se baiser qui lui fit le plus grand plaisir. Jamais on ne lui avait au temps accorder d’importance autre que son physique. Mais elle s’entait que Faren lui se n, était pas seulement ça qui l’intéressait. Pas seulement son corps mais sa personnalité aussi. Coucher sur lui elle répondait a ses baiser avec de plus en plus de fougue.

Faren se laissa gagner par ses baisers et commença à délacer lentement sa robe, guettant sa réaction. Si ça allait trop vite pour elle, il patienterait aussi longtemps qu'il faudrait.

*elle dressa la tête quand il commença a délasser sa robe. Son cœur battait…devait t-elle le laisser aller plus loin? La princesse avait accepter de donner son cœur et son corps a l’homme qu’elle aimait avant le mariage. Après quel que instant d’hésitation elle recommença a l’embrasser. Ca allait vite…mais elle s,avait qu’il resterai avec elle. Qu, il ne al jetterai pas après l’avoir eu. Alors pourquoi pas se donner a celui qu,elle aimait de tout son etre?

Faren s'arrêta lorsqu'elle dressa la tête. Mais lorsqu'elle recommença à l'embrasser, il sut qu'il pouvait. Il délaca lentement sa robe.

- Je t'aime Satine, murmura-t-il entre deux baisers.

-au que moi aussi je t’aime Faren d’émeraude.

*son cœur battait a tout rompre. Elle ne savait pas exactement quoi faire mais elle s’avait qu’il la guiderai. Elle s’arrêta quel que instant et replaça ses longs cheveux noir. Elle lui enleva sa tunique et l’embrassa dans le coup. Elle se leva et retins sa robe contre elle. Et alla barrer la porte. Elle se retourna vers Faren toujours coucher sur le lit. Elle s’approcha et fit glisser sa robe par terre. Révélant pour al première fois sont corps a un homme.

Faren sourit et la prit par la taille en l'embrassant passionnément. Lui aussi était un peu nerveux. Il se serra encore un peu plus sur elle et l'embrassa partout sur son corps de déesse.

*elle ferma les yeux a ses baisés. elle se sentait si bien. la nervosité se transforma bientôt en passion. Lové contre lui elle le laissa faire. Elle respirait bien vite. Elle fini par s’emparer de ses lèvres. L’embrassant avec fougue elle fini par se coucher sur lui. Mettant tout ses beaux souvenir bien incruster dans sa mémoire.

Faren lui fit l'amour avec passion, savourant chaque instant et chaque émotions avec délices. Il encra dans sa mémoire chaque moment et chaque détails de cet instant.

*elle eu mal que quel que seconde mais elle fessait beaucoup d’équitation alors se fut moins pire. Elle s’avouera avec plaisir ce moment avec le magicien. Elle passa son plus beau moment de sa vie! Elle avait toujours rêver de se moment comme celui qu’elle venait de passer. Pas encore tout a fait endormie elle écoutait la respiration de son bien aimer. Les yeux fermer elle se laissait bercer par le souffle de faren.

- Ne me dit pas que tu vas t'endormir, il n'est que passer midi, souffla-t-il à son oreille.

Il la retourna contre lui et lui donna quelques baisers dans le cou.

- Comment quelqu'un peut-il faire pour ne pas t'aimer?

-a tu dis sa juste parce qu’on viens de le faire…

*dit-elle prise dans un fou rire.

-je ne vais pas m’endormire, je ne fais que pensé!

*dit-elle en reprenant son sérieux.

-j’ai passée un très beau moment pour une fois.

*dit-elle en fermant les yeux a ses baiser.

(bon tk mon chum vien d,arrievr salut-XxX)

- Pour une fois... répéta Faren. Pour une fois alors?

Il se releva sur ses coudes.

- Tu veux dire que tu ne t'étais jamais amusée avant? Que nous avions jamis passé de bon moment ensemble?

-a arrêt donc un peu!

*dit-elle en levant la tête vers lui…

-certes on a déjà passer de bon moment ensemble mais j’ai bien aimer celui-ci. Pas toi?

*dit-elle en lui donna un petit baiser sur les lèvres. Puis elle partie a rire.

-la c’est vrai que je suis tout décoiffer.

Faren rit lui aussi.

- Moi aussi j'ai bien aimer.

Il se recoucha et regarda Satine. Il replaca ses cheveux à l'aide de ses pouvoirs.

- Si un jour tu as des problèmes pour te coiffer, demande moi-le!

*elle partie a rire a cette réponse.

-tu es tout simplement mon homme rêver le savais-tu? Tu me coiffe. Tu me parle comme ton égal et tu es si gentil.

*dit-elle en se lovant contre lui.

-alors explique moi se qui c’est passez dans la salle a manger.

*dit-elle enfin.

- Tu vuex tout savoir? lui demanda-t-il.

Il avait une meilleure façon que la parole pour lui expliquer.

(c foul cute ta sign loll moi J,avais pas d,idée)

*elle leva la tête et le regarda surprise.

-bien sur aussi non pourquoi te l'aurais-je demandée?

*dit-elle doucement avec un demi sourire. il avait piquer sa curiosité.

(Merci^^)

- D'accord.

Faren ferma les yeux et recréa toutes les images de la scènes qui s'était dérouler dans la salle à manger. L'arrivée des chevaliers, les attaques qui ont été lancées par Élya et lui en vain, la querelle entre Élya et Kiron, lorsque le démon à commencer à parler, tout. Une fois qu'il eut finit de recréer la scène, il l'envoya dans la tête de Satine et guetta sa réaction.

- Tu sais tout maintenant...

*cela la surpris un peu de voir tout ses images dans sa tête mais elle s'habituerai assez vite a Faren et a sa magie trop compliquer pour elle.

-et bien oui je sais tout.

*dit-elle en ouvrant les yeux. Il avait une brise fraîche dans la chambre comme ca elle restait coller sur Faren et sous les couverture. Elle avait laisser la porte de son balcon a moitié ouverte.

- Tu vois, tu n'as pas manqué grand chose. Il ne s'est pas passé grand chose d'interressant à part le regard qu'Élya à lancé à Kiron.

Faren fut parcouru d'un frisson et remonta un peu plus les couvertures sur eux.

- Telles les premières lueurs du soleil
Ta douceur me sort de mon sommeil
L'exquise vision de ton visage
M’entraîne dans un tendre voyage

La première étreinte langoureuse
Au contact de ta peau soyeuse
Tel la promenade du bienheureux
Transporte tout mon corps dans les cieux

L’envoûtante vision de ton regard
Dissipe dans mes yeux le brouillard
L’esquisse de ton sourire enchanté
Apparaît tel un voile rose nacré

Le doux son de ton rire exalté
Me donne l’envie de t’embrasser
Le plissement de tes yeux souriants
Evoque l’immense tendresse d’un instant

Chaque retrouvaille déchaîne mon émoi
Chaque enlacement m'attire vers toi
Chaque bisou stimule mon amour
Chaque regard fait fondre mon coeur

*elle ouvrit les yeux a ses paroles d’une beauté extraordinaire. Ravissant tout les mots sans exception qui sortait de la bouche du magicien : elle, elle savait peu être bien chanter et danser mais jamais elle ne pourra faire de poème aussi superbe que le sien.

-comme c’était beau…

*dit-elle simplement. Enfin elle n’avait pas a se promener partout avec la princesse. Elle pouvait se reposer dans son lit avec son bel amour.

- J'aurais simplement besoin de savoir chanter, dit-il en riant un peu.

Il se retourna vers Satine en la serrant dans ses bras. Il était si bien avec elle, il ne voulait pas la quitter. Jamais il ne pourrait se sentir aussi bien avec quelqu'un d'autre.

- Ma vie n'aurait eu la peine d'être vécue si je ne t'avais pas rencontré...

-je voulais savoir…toi vas-tu aller a la guerre?

*dit-elle en se tournant sur le ventre et le regardant doucement soulever par ses coudes…

-ou seul les chevaliers vont y aller. Car toi aussi tu leurs sera d,une grande aide.

- Les magiciens ne vont pas à la guerre. Nous sommes ici pour conseiller le roi et éduquer les enfants. Je ne mourrai donc pas de sitôt.

Il lui sourit en l'embrassa tendrement.

-une chance…je n’aimerai pas ca. J’ai justement dit a la princesse que je ne serai jamais avec un homme qui est toujours partie a la guerre.

*puis elle changea de sujet radicalement :

-alors tu veux combien d’enfant toi?

- Il ne faut jamais dire jamais, même si tu as eu raison pour cette fois.

Puis, lorsqu'elle lui pausa la question il haussa les sourcils.

- J'en sais rien, répondit-il, un peu prit au dépourvu. Tu m'as dit que j'en aurais deux, je trouve ça correct. Toi?

-au que oui

*dit-elle prise d’un fou rire…

-mais se qui est sur sait que je ne suis pas prête a en avoir tout de suite.

*Dit-elle doucement.

-et toi quand pense-tu? Parce que je me trouve u peu jeune non? Je sais pas mais être mère m’effraie. J’ai peur de ne pas faire ca comme il le faux!

*avoua t-elle

- Je suis sur que tu te débrouillerais très bien, affirma-t-il en se penchant pour l'embrasser.

Il se tourna vers le sol et se demanda quelle heure il pouvait être.

- Ça te dit d'aller faire un peu d'équitation?

-je l’espere...

*se murmura t-elle.

-a je ne sais pas trop...je vais voir a ça!

*dit-elle avec un beau sourire en se couchant sur lui et l'embrassant partout dans le coup.

-tu savais que je t’aimais mon cher?

- Non... dit-il ironiquement avant d'éclater de rire. Je ne savais pas!

Il l'embrassa puis lui dit:

- Moi aussi je t'aime. Et je t'aimerai toujours.

-a regard le soleil commence déja a se coucher! je ne croie pas qu'on va pouvoir aller sur nos chevaux aujourd'hui alors que conte tu faire mon amour?

*dit-elle en cherchant les lèvres du magicien. elle était si bien, elle qui avait détester les hommes aux poing de les charmer et de leur briser le cœur après, comme son père lui avait fait. elle ne voulait plus que Faren parte. Elle l’aimait tellement, d’un amour sincère.

Faren regarda dehors et sourit.

- Le temps passe vite avec toi, trop.

Et c'était vrai. Pour lui, ça ne faisait que quelques minutes qu'il était là, coucher sur le lit avec Satine. Il ne voulait pas se séparer d'elle. Il se pencha et déposa un bref baiser sur ses lèvres.

- Nous ferons ce que tu voudras.

Cunégonde sourit. Au fond, ce bel homme avait besoin d'affection. Elle lui en donnerait tant qu'il en voudrait. Elle continua son chant un moment puis s'arrêta pour regarder le plafond. Elle passa ses doigts sur son torse en ricanant. Elle commença a l’embrasser dans le cour coquinement.

Faren rit et ferma les yeux. Il n'avait jamais été aussi bien et heureux de sa vie. Satine avait fait naître en lui un bonheur inexpliquable, tant il était grand. S'il devait s'en séparer il ne le supporterait pas. Il se laissa faire un instant et releva la tête de Satine en soulevant son menton et l'embrassa avec amour.

*après avoir rie et c’être embrasser plusieurs fois avec amour elle s’endormie enfin, les dieux venaient la chercher pour l’emmener au pays des rêve comme sa mère adoptive disait bien souvent. Les yeux fermer elle se laissait bercer par la respiration du magicien. Mais elle se fit réveiller au petit matin par les gazouillements des oiseaux sur le bord de sa fenêtre entrouverte.

Faren en fit de même, mais lui s'endormit en respirant le doux parfum des cheveux de Satine. Il se réveilla le lendemain matin naturellement après Satine.

- On aura passé presque toute la journée dans ce lit...

Il l'embrassa sur la tête et recu le message télépâtique de Napoldia.

- Il faut que j'y aille on dirait...

Il soupira et fit volé ses vêtements jusqu'à lui, étant trop parresseux pour les prendre lui-même. Il s'habilla et embrassa Satine.

- On se revoit bientôt.

Puis, il sortit de la chambre vers la salle de classe.

Après un certain temps, il revint à la porte de la chambre et cogna quelques coups.

*la jeune femme s’était lever et rhabillée. Elle avait fais le ménage de sa chambre. Sa fessait maintenant presque un ans qu’elle était avec Faren. D’habitude ils fessaient bien attention, pour ne pas la mettre enceinte mais la…elle avait souvent des n’oser le matin, bien sur elle n’avait certes pas de ventre, enfin pas encore. Elle craignait vraiment qu’elle le soit. Elle dame de compagnie de la princesse, pas encore marier mais qui vivait un amour fou avec leur magicien tomber enceinte mais que dirai sa princesse que elle déjà mère elle était depuis déjà 4mois. Elle entendis frapper alors elle alla ouvrire et Satine vit alors Faren la, souriant comme toujours.

Faren entra dans la salle avec le même sourire. Il l'embrassa doucement et lui demanda:

- Tu as toujours tes nausées le matin?

Jusque là, Faren ne s'était jamais vraiment inquiétez, ce disant que ce devait simplement être un microbe qui passerait. Mais si elle continuait à en avoir, il commencerait surement à avoir des doutes. Pour lui, ça ne l'inquietait pas, il n'était pas trop jeune, mais Satine était moins agée que lui. Il continua de la regarder, sans laisser paraître son inquiétude.